« Si nous passions l’année entière en vacances, s’amuser serait aussi épuisant que travailler »  disait Shakespeare.

Alors faisons comme si :

Comme si nous étions ravis de retrouver nos trajets quotidiens,

Comme si nous étions épanouis dans notre travail,

Comme si la rentrée annonçait le début des vacances,

Comme si la sonnerie du réveil était merveilleuse,

Comme si nous étions heureux de retrouver le billet d’humeur du coach.

Soyons créatifs comme lorsque nous avions à organiser nos loisirs d’été parce que rentrée ne veut pas dire rentrer dans sa coquille, rentrer dans le rang ou rentrer dans le mou. Choisissons plutôt le verbe sortir, des sentiers battus, de l’ombre, du commun. Sortez le grand JE, celui qui vous fera aimer tous les petits quelques choses comme autant de petits bonheurs à venir. Les clés pour s’ouvrir aux petits bonheurs ? Goûter l’instant (comme sur votre transat), ralentir, se concentrer sur une seule chose à la fois, cultiver le lien avec les autres, s’autoriser à ne pas être toujours heureux. Alors essayez et bonne sortie.